Maroc-Botswana : le match de tous les dangers
Joueurs et staff technique n'ont pas donc droit à l'erreur. Ils le savent, surtout qu'il s'agit d'un match largement à leur portée. Du moins, sur papier. Autant dire que la vigilance sera de mise car ce qui compte dans ce match, ce sont justement les trois précieux points.
Le dernier ballet diplomatique de la Fédération, visant à réconcilier les frères ennemis au sein de la sélection, s'est soldé par un échec. Le gardien du temple aura eu le mérite de marquer sa présence en tant qu'entité de tutelle, incontournable, qui veille sur les lieux.Elle a contribué au renforcement du moral des troupes.
Des joueurs et staff technique rassurés, voilà ce que l'opinion publique souhaitait.
Le Botswana, pratiquement out dans la course au Caire, ne va pas justement se présenter en victime expiatoire.
En effet, dans la perspective de ce match, elle a sollicité une rencontre préparatoire contre le … Real Madrid ! Rien que ça ? Ce match a été annulé au dernier moment et les Botswanais ont regagné le Maroc pour s'y mettre au vert. Cette histoire sent le louche à l'instar de la décision de faire jouer le match retour Kenya-Tunisie à huis clos.
Et pourtant, il n'y avait aucun plaignant.
Si cette mesure devait faire jurisprudence, que de stades écoperont d'un carton rouge de la part du mastodonte de Zurich, à chaque échauffourée !
Qu'à cela ne tienne ! Le Maroc n'assiste pas là au premier coup fourré le visant, perpétré par un lobbying footballistique continental et mondial qui se met à nu au gré des événements.
Grâce à Dieu, le Maroc a toujours compté sur lui-même et relevé le défi à la sueur du front, comme on dit. Les Lions qui ont retrouvé le moral après l'orage de Rouen, le prouveront ce samedi, au Complexe Prince My Abdallah et le confirmeront une fois pour toute au stade Rades de Tunis même, le 8 octobre prochain. Tout le monde y croit, à commencer par les acteurs.
Le dernier ballet diplomatique de la Fédération, visant à réconcilier les frères ennemis au sein de la sélection, s'est soldé par un échec. Le gardien du temple aura eu le mérite de marquer sa présence en tant qu'entité de tutelle, incontournable, qui veille sur les lieux.Elle a contribué au renforcement du moral des troupes.
Des joueurs et staff technique rassurés, voilà ce que l'opinion publique souhaitait.
Le Botswana, pratiquement out dans la course au Caire, ne va pas justement se présenter en victime expiatoire.
En effet, dans la perspective de ce match, elle a sollicité une rencontre préparatoire contre le … Real Madrid ! Rien que ça ? Ce match a été annulé au dernier moment et les Botswanais ont regagné le Maroc pour s'y mettre au vert. Cette histoire sent le louche à l'instar de la décision de faire jouer le match retour Kenya-Tunisie à huis clos.
Et pourtant, il n'y avait aucun plaignant.
Si cette mesure devait faire jurisprudence, que de stades écoperont d'un carton rouge de la part du mastodonte de Zurich, à chaque échauffourée !
Qu'à cela ne tienne ! Le Maroc n'assiste pas là au premier coup fourré le visant, perpétré par un lobbying footballistique continental et mondial qui se met à nu au gré des événements.
Grâce à Dieu, le Maroc a toujours compté sur lui-même et relevé le défi à la sueur du front, comme on dit. Les Lions qui ont retrouvé le moral après l'orage de Rouen, le prouveront ce samedi, au Complexe Prince My Abdallah et le confirmeront une fois pour toute au stade Rades de Tunis même, le 8 octobre prochain. Tout le monde y croit, à commencer par les acteurs.